Catégories
FCS FCS1-exos

Memory sur les fondamentaux du Web

Je vous propose d’exercer votre mémoire en retrouvant les paires de cartes dont les intitulés sont associables. Par exemple “Serveur Web (ou serveur HTTP)” et “Navigateur Web (ou client HTTP)”.

Catégories
FCS FCS1-cours

Les modes de publication en ligne

Dans ce cours vous allez inventorier et tester plusieurs modes de publication de contenus sur le Web. Il sera question de plateformes d’édition et de publication auto-hébergée, d’éditeurs WYSIWYG, de langage et d’éditeurs Markdown. Ce cours vous permettra d’avoir un premier aperçu des formes de publication en ligne les plus simples.

Pour tirer profit de ce cours, vous devez avoir suivi les cours intitulés Le fonctionnement du Web et Contenu d’un dossier de page Web.

Utiliser une plateforme d’édition en ligne

Le moyen le plus simple de publier des contenus sur le Web est d’utiliser les services clés en main de plateformes proposant à la fois des outils d’édition intuitifs et un hébergement automatique des contenus édités. Je vous propose d’en examiner deux plus attentivement : Netboard et Google Sites.

Ne vous illusionnez pas, il faut consacrer un peu de temps à la prise en main de ces plateformes. Pour réaliser des sites satisfaisants, il va vous falloir faire des essais, produire des contenus adaptés, choisir des images, etc. Vous gagnerez un peu de temps en utilisant les modèles proposés sans chercher, dans un premier temps, à les modifier.

Utiliser la plateforme Netboard

Netboard se présente comme un outil en ligne gratuit et facile à prendre en main pour collecter, organiser et partager tout contenu Web. Il s’agit de publier ses textes, images, liens, vidéos, documents annexes, etc. sous forme de blocs d’infos (fiches ou cartes) rangés dans des onglets.

Un site Netboard complet détaille le mode d’emploi de la plateforme : https://jmd85.netboard.me/presentation/?tab=132247

➜ Si vous souhaitez avoir un bon aperçu sur Netboard, je vous propose de visionner la vidéo ci-dessousun prof d’anglais explique à d’autres profs comment utiliser Netboard.

Netboard peut donc servir à :

  • regrouper et partager des collections de liens (veille informationelle)
  • organiser et structurer la présentation de contenus pédagogiques (en tant qu’apprenant ou en tant qu’enseignant)
  • regrouper en mode collaboratif des documents sur une thématique
  • rassembler et partager une documentation sur un sujet précis
  • maquetter un site Web en testant la répartition des contenus sous différents onglets
  • etc.

En utilisant des dispositions de contenus simplifiées et des « skins » sobres, vous pouvez donner à vos sites Netboard une apparence simple et fonctionnelle.

Utiliser Google Sites

Google Sites permet de publier des contenus sous une forme visuelle très différente des sites Netboard. Le résultat s’apparente davantage à un site « professionnel ». Le revers de la médaille est une multiplicité d’options de personnalisation pouvant paraître complexes de prime abord.

Il est nécessaire d’avoir bien préparé son projet de publication en amont pour tirer parti de toutes les fonctionnalités proposées. Google propose quelques modèles à personnaliser. N’hésitez pas à utiliser ces modèles pour mettre au point votre premier site.

Vous trouverez une documentation détaillée sur le centre d’aide de Google. La vidéo ci-dessous montre la réalisation d’un site de quelques pages en une vingtaine de minutes, résumées par l’auteure (Lou) en 6 minutes 30. Lou est habituée à la publication en ligne, l’interface de Google Sites lui est familier. De plus, elle a pris le temps de produire plusieurs autres sites avec Google Sites avant d’en faire la présentation sur YouTube.

➜ Google site mériterait qu’on lui consacre un cours entier. L’essentiel à retenir est qu’il existe des moyens de publier des contenus en ligne sans avoir à saisir une seule ligne de code ni à transférer manuellement des fichiers sur un serveur distant.

Vous trouverez en ligne des tutoriels plus détaillés (attention de bien sélectionner les articles les plus récents car l’éditeur classique n’est plus disponible depuis novembre 2020). Voici un exemple de tuto assez complet : https://fr.techtribune.net/google/google-sites-comment-utiliser-le-createur-de-site-web-de-google/102077/

D’autres vidéos vous sont proposées sur YouTube :
Comment Utiliser Google Sites (réalisée peut-être avec une voix ia)
Cooment faire un site internet avec Google Sites (plus ancien mais avec une présence plus crédible…)

Autres plateformes de publication en ligne

Padlet

Padlet est une plateforme de publication de tableaux ou « padlets » à usage initialement académique. Au delà de trois tableaux, le service est payant (la création de 20 tableaux revient à environ 10 euros par mois). La prise en main de l’outil est très rapide.

La diversité des modèles de tableaux encourage une publication sous diverses formes.

https://padlet.com/yvesgoguely/sitePadlet (modèle personnalisé de blog)

Canva

Canva est une plateforme d’édition plurimédia permettant de réaliser de très nombreux produits de communication. La platefome est utilisable gratuitement mais de nombreuses fonctions sont alors inaccessibles. L’abonnement annuel se monte à 110 euros par an (9,17 euros par mois).

Canva permet notamment de créer des site Web. Les sites Web de Canva se présentent sous forme de site “onepage” divisés en section. De nombreux modèles sont proposés pour guider la mise en forme.

https://urls.fr/OtrnTP (modèle de portfolio)

Utiliser un éditeur WYSIWYG

À partir du moment où vous envisagez de mettre en ligne vos contenus en utilisant les services d’un hébergeur, vous aurez à produire des pages HTML. Il vous faudra ensuite transférer ces pages chez votre hébergeur. Vous utiliserez pour cela un outil (nommé client FTP) tel que Filezilla. Voyez le cours consacré à l’utilisation de Filezilla.

Nous reviendrons plus tard à cette étape incontournable et aux solutions alternatives qui permettent aux internautes de lire vos pages HTML via une adresse Web valide.
➜ En attendant vous vous contenterez de lire vos pages HTML directement sur vos postes de travail, avec votre navigateur préféré.

Pour produire une page HTML doté d’un code source propre, il existe depuis de nombreuses années des éditeurs dit WYSIWYG (What You See Is What You Get = Ce que vous voyez est ce que vous obtenez). Ces outils permettent de générer une page HTML en structurant et stylisant du texte par le biais de sélections et de clics sur des boutons (à la manière d’un traitement de texte).

Utiliser des éditeurs WYSIWYG gratuits

Parmi les outils disponibles en ligne je vous propose de tester les outils suivants (faciles à prendre en main) :

Ces éditeurs gratuits permettent de générer un code HTML propre mais ne disposent pas de fonction d’exportation des contenus en HTML. Ces éditeurs ont utiles à ceux qui doivent injecter du code HTML dans un système prenant en charge la stylisation globale d’un site ainsi que sa mise en ligne.

Je propose donc d’utiliser un éditeur Markdown puis d’exporter le texte codé sous forme de fichier HTML stylisé.

Utiliser un éditeur Markdown

Le langage Markdown est un langage de balisage léger permettant de structurer un texte avant de l’exporter sous forme de page HTML, de fichier PDF, DOC, TXT, etc.

Des éditeurs Mardown en ligne permettent de travailler rapidement à l’élaboration de pages Web simples et présentées sobrement. Voici à quoi ressemble une mise en page effectuée avec stackedit.io :

La page ci-dessus, exportée au format HTML (option page stylisée avec sommaire — HTML styled with TOC ), s’affiche dans une fenêtre de navigation de la manière suivante :

Vous pouvez visualiser cette page en ligne en cliquant sur ce lien : https://graphizm.fr/fcs/stackedit/langage-markdown-toc.html

Autres éditeurs Markdown

Dans le document ci-dessus je mentionne l’éditeur en ligne dillinger.io. Dillinger, aussi facile à prendre en main soit-il, exporte un code HTML beaucoup moins propre que StackEdit. Après une remise en forme du code exporté depuis Dillinger, on se retrouve avec 5600 lignes d’instructions CSS et un nombre incalculable de classes (identifiants d’éléments HTML). Ce constat met en valeur la sobriété de StackEdit.

Le document mentionne également Typora, un éditeur Markdown multiplateformes, hors ligne mais payant (Un peu plus de 16 euros TTC). Il en existe plusieurs autres, gratuits, dont Macdown et PanWriter, pour MacOs.

La personnalisation des pages HTML exportées

Une page HTML proprement codée structure le contenu rédactionnel. StackEdit associe une stylisation simple au code HTML. Ainsi paramétrée, Une page HTML exportée depuis StackEdit est transférable sur un serveur, présentant un contenu lisible (identique à ce qui était affiché dans la fenêtre de prévisualisation de l’éditeur).

La stylisation par défaut de StackEdit peut être modifiée en utilisant une feuille de style dite “classless”, en remplacement de la feuille de style proposée par défaut.

Cette opération nécessite l’usage d’un éditeur de code, pour modifier le lien d’appel de la feuille de style utilisée, dans l’entête du code source de la page Web.

Vous pouvez voir des stylisations “classless” sur le site classlesscss.com. Plusieurs feuilles de style “classless” étant disponibles sur des serveurs (CDN), cela facilite la personnalisation des pages exportées depuis StackEdit.

L’utilisation de StackEdit et la personnalisation d’une page HTML avec un éditeur de code sont détaillé dans les autres cours de la formation FCS niveau 1.

Utiliser d’autres modes de publication en ligne

Je me contenterai de les mentionner, sans entrer dans les détails, car ils requièrent des compétences plus avancées pour pouvoir être utilisées facilement. Ces compétences seront pour la plupart acquises au fil de la formation FCS (niveaux 2 et 3).

Utiliser des frameworks CSS

Un framework CSS est une boîte à outils dans laquelle se trouvent des instructions de stylisation prêtes à l’emploi. Les frameworks CSS (nommés aussi kits CSS) font gagner beaucoup de temps lors de la conception de pages Web élégantes.

Le framework CSS le plus souvent cité est Bootstraap. Le framework w3.css, étudié pendant la formation FCS, est un framework CSS utilisé pour s’initier au maniement de ce type de boîte à outils.

Utiliser des CMS sans base de données

Un CMS sans base de données (nommé aussi CMS flat-file) est un système de gestion de contenus en ligne enregistrant les contenus du site dans des fichiers indépendants. Ils sont plus simples à mettre en œuvre, plus sûrs et plus faciles à maintenir que les CMS avec base de données.

Pour en apprendre davantage sur le sujet, je vous invite à consulter mes ressources mises en ligne sur Netboard.

Utiliser des CMS classiques et des plateformes de création de sites

Le CMS le plus populaire est de loin WordPress. Viennent ensuite Shopify, Wix, Squarespace, Joomla et Drupal.

Parmi ceux-ci, Squarespace et Wix sont des plateformes de création de sites offrant un service complet alliant l’usage du CMS à l’hébergement du site en passant par la réservation du nom de domaine.

Source : kinsta.com
Catégories
FCS FCS1-exos

Coder sans coder

Dans les exercices qui suivent, vous allez manipuler des balises HTML virtuelles et reconstituer des structures simples par glisser-déposer (drag and drop).

Reconstituer une structure HTML simple

Le premier exercice est accessible à cette adresse : https://graphizm.fr/fcs/drag-and-drop-html/

➜ Il s’agit, en faisant glisser les balises de droite à gauche, de reconstituer schématiquement une structure HTML du type h1-intro-h2-p-p

Cliquez sur l’image pour faire l’exercice

L’introduction dont il est question est un simple paragraphe dont le contenu est affiché en gras.

Reconstituer une structure HTML plus complexe

Le second exercice développe la structure du premier exemple en ajoutant une feuille de style interne, un second titre h2 avec ses paragraphes puis un script d’animation.

Le premier exercice est accessible à cette adresse : https://graphizm.fr/fcs/drag-and-drop-html-css-js/

➜ Il s’agit cette fois, toujours en faisant glisser les balises de droite à gauche, de reconstituer schématiquement une structure HTML du type h1-intro-h2-p-p-h2-p-p intégrant les éléments ajoutés.

Cliquez sur l’image pour faire le second exercice

Catégories
FCS FCS1-cours

Le fonctionnement du Web

Dans ce cours vous allez découvrir comment fonctionne le Web et réaliser plusieurs activités en lien avec ce sujet. De nombreux liens vers des ressources externes vous seront proposés, vous pourrez les explorer tranquillement, le moment venu.

Utiliser une analogie pour comprendre le Web

Pour commencer, je vous invite à lire les trois premières partie de l’article intitulé “Le fonctionnement du Web”, sur le site developer.mozilla.org :

L’idée à laquelle je vous invite à être attentif est celle ci :

“Faisons un parallèle entre le Web et une rue. D’un côté de la rue, il y a une maison qui correspond au client. De l’autre côté,  un magasin correspondant au serveur, et dans lequel vous souhaitez acheter quelque chose.”

Faites un dessin commenté (façon sketchnoting) en vous inspirant de l’analogie développée dans la deuxième partie de l’article mentionné ci-dessus.

Votre dessin commenté sera partagé pour en contrôler l’exactitude (mais non la qualité graphique) 😉

Créer une infographie

Pour fixer davantage dans la réalité les concepts abordés à l’étape précédente, je vous propose de réaliser vous même une infographie en utilisant des éléments graphiques mis à votre disposition (cliquez sur l’image ci-dessous).

Si vous ne parvenez pas à faire glisser les éléments de la zone de droite vers la zone de gauche, rafraîchissez la page (ctrl/cmd-R).

➜ Voici les consignes à respecter pour positionner les différents éléments constitutifs d’un large réseau informatique.

Pour connecter les éléments du réseau entre eux, je vous invite à utiliser (en présentiel, sur Mac) l’application Aperçu. En effet, cette application dispose d’une fonctionnalité permettant de simuler un cable de liaison entre 2 box. Il vous faudra pour cela effectuer une capture d’écran de votre “réseau”.

Vous pourrez légender votre infographie en utilisant Aperçu ou l’application Skitch, disponible sur votre poste de travail en présentiel.

Avant de passer au chapitre suivant, je vous invite à terminer la lecture de l’article publié sur developer.mozilla.org. Vous allez en effet avoir besoin de quelques informations supplémentaires pour bien comprendre les vidéos proposées plus bas.

Visionner quelques vidéos

La première vidéo que je vous propose de visionner survole le sujet mais sans oublier aucun point essentiel.

Vidéo de 3 minutes et 4 secondes

La seconde vidéo offre un panorama complet de ce qui se passe lorsque vous regardez une vidéo en ligne. Pour éclairer leur propos, les auteurs abordent tous les points avec lesquels vous vous êtes déjà familiarisés (plus quelques autres dont je vous ai peut-être déjà parlé…).

Faire un peu d’histoire

L’histoire du Web est pleines d’anecdotes amusantes ou dramatiques. Elle commence beaucoup plus tôt qu’on se l’imagine et connait des rebondissements inattendus. Voici quelques ressources disponibles pour parfaire votre culture Web.

Liens sur l’histoire d’Internet

Liens vers Wikipedia

Catégories
FCS FCS3-exos

Personnaliser le thème Massively

L’un des thèmes de Bludit les plus impactants visuellement, se nomme “Massively”. Il s’agit d’un thème adapté pour le CMS Bludit mais qui, initialement, a été créé par HTML5UP sous la forme d’un site statique HTML-CSS.

➜ Pour ce cours, je vous invite à activer Massively sur votre site Bludit. Vous allez ensuite apprendre à le personnaliser pour créer soit votre portfolio, soit une maquette de site pour le client pour lequel vous avez déjà travaillé lors du TP2.

Vous pourrez mentionner ce site dans votre portfolio, preuve de votre maîtrise de la publication en ligne à l’aide d’un système de gestion de contenus (CCP-3 du Titre Pro IMeP).

Analyser le thème Massively

Identifier les qualités de Massively

L’ambiance générale de votre site reposera essentiellement sur l’image de fond et sur la qualité des images d’accroche que vous associerez à chacun de vos articles.

L’image de fond, disposée en arrière plan, permet de plonger d’emblée le lecteur dans une atmosphère prégnante. En la choisissant avec soin, il est possible de créer un site extrêmement séduisant !

Le thème Massively affiche les pages dynamiques en mettant en avant l’image d’accroche de chaque article. Cette image s’accroche est associée à un lien vers l’article concerné. Le lien vers le dernier article publié occupe toute la largeur de la page d’accueil, avec son image d’accroche bien visible, sous le menu. Les liens vers les autres articles se répartissent sur une grille de 2 colonnes, sous le dernier article publié (ou l’article épinglé…).

Une couleur de focus est visible au survol des boutons et des titres d’article. Cette couleur de focus doit permettre la lisibilité des textes sur fond sombre (l’image de fond) et sur blanc (contenant des articles). Cette couleur et l’image de fond fondent le style visuel d’un site utilisant le thème Massively.

La couleur affichée au survol des titres (bleu #18bfef par défaut) pourra être modifiée en fonction de la charte graphique (ou planche de marque) du client.

Une des qualités cachées de Massively est le potentiel de sa feuille de style. Il est en effet possible d’insérer dans les pages des éléments typographiques et iconographiques stylisés nativement en plein accord avec le look du thème.

➜ Il sera nécessaire d’explorer le potentiel de cette feuille de style native pour appliquer ces styles sur les sites construits avec Bludit. Le sujet sera développé plus bas.

Identifier les défauts du thème

Massively présente toutefois des défaut, notamment concernant les réglages adaptatifs (responsives, en anglais…). En effet, ces réglages ne permettent pas, par défaut, de voir entièrement les images insérées dans les pages statiques ou dans les articles quand on navigue sur petit écran. Une solution a cependant été trouvée. Il en sera question dans le cours.

L’intitulé du premier onglet, “Page d’accueil”, ne semble pas modifiable dans les réglages du tableau de bord de Bludit. C’est en effet une caractéristique du thème qu’il faut modifier dans le fichier de traduction. Cet intitulé peut ne pas vous satisfaire pleinement. Sans doute le simple mot “Accueil” serait-il préférable.

Vous allez apprendre à corriger ces défaut et à personnaliser le thème en profondeur tout au long de ce cours.

Personnaliser l’image de fond

Comme nous venons de le voir, l’impact visuel de ce thème repose sur l’image utilisée en fond de page.

Choisir une image fonctionnelle

Elle devra être choisie avec soin et recadrée de manière à laisser voir en haut de l’image ce qui servira d’arrière-plan au titre du site.

Si vous choisissez une image très claire, il sera nécessaire de modifier la couleur d’affichage du titre (en blanc par défaut). Sur un fond photographique, seules deux couleurs sont utilisables : le blanc (sur photos claires) ou le noir (sur photos sombre).

L’image d’arrière plan du thème Massively se nomme “bg.jpg”. Elle fait 1680 x 2000 pixels. Pour en faciliter l’affichage, il est impératif de la compresser de manière à ce qu’elle soit la plus légère possible. Un enregistrement pour le Web, à partir de Photoshop, avec une compression JPEG moyenne, devrait être optimale.

Comment remplacer l’image de fond

Veillez à donner à votre nouvelle image le même nom que celui de l’image d’origine. Remplacez l’image originale nommée bg.jpeg par celle que vous souhaitez utiliser.

Voici dans quel dossier il faut remplacer l’image d’origine par celle de votre choix : `dossier-du-site/bl-themes/massively/images/`

Pour visualiser le changement d’image de fond, il est souvent nécessaire d’effacer les images placées en cache (mémoire temporaire) dans votre navigateur. Avec Chrome, cochez juste “Images et fichiers en cache” dans “Effacer les données de navigation”.

➜ Notez à quel point le changement d’image de fond modifie totalement la perception de la page 😉

Positionner une image d’accroche

Optimiser l’effet produit par la première image d’accroche

Pour accentuer cet effet d’immersion, je vous propose d’illustrer la page “À propos” en choisissant comme image d’accroche une partie de l’image de fond.

Source de l’image utilisée : https://littlevisuals.co/

Vous pouvez envisager de superposer le logo de votre client à cette image d’accroche pour indiquer clairement le lien entre la marque et le contexte visuel de sa présentation.

Épingler un article et modifier sa description

Bludit vous offre la possibilité d’épingler un article en tête de la liste des articles publiés. Sur la page d’accueil, celui-ci est alors présenté en premier, même si d’autres articles sont publiés après. Cela vous permet de mettre en avant un contenu clé, que les lecteurs verront d’emblée en arrivant sur la page d’accueil.

Dans notre cas, je vous propose d’épingler l’article dont l’image d’accroche est une reprise de l’image de fond (avec ou sans logo superposé).

➜ Profitez-en pour compléter la description de cet article. Dans Massively, celle-ci s’affiche sous le titre de l’article (en italique et en gris clair). Cette description sert d’accroche ou de châpo pour inciter le lecteur à lire l’article. Elle est utilisée comme extrait par les moteurs de recherche, il est donc recommandé de placer le mot clé de la page au début de la description.

Copier et coller du texte

Identifier le problème des textes collés

Quand on réalise un site à l’aide d’un CMS, il arrive qu’au lieu de saisir le texte directement dans l’éditeur de texte du CMS, on aille récupérer du texte sur un document existant. Se pose alors un problème agaçant : en collant le texte copié, on s’aperçoit que ce texte ne s’affiche pas sur le site comme les autres textes saisis directement.

Cela vient du fait qu’en copiant le texte dans le presse-papier, vous avez copié aussi les styles CSS associés au texte. Vous pouvez vous en rendre compte en activant la fenêtre d’édition HTML de l’éditeur de Bludit (cliquez sur le bouton <>, à droite de la barre d’outils). Vous verrez alors les styles CSS associés au texte collé.

Convertir le texte copié en texte brut

La solution au problème posé consiste à convertir le texte copié en texte brut en utilisant un éditeur de texte comme TextEdit (sur mac) ou Notepad (sur PC). Collez le texte dans un nouveau document et convertissez-le au format Texte (.txt).

Conversion d’un texte avec TextEdit, sur macOs (le texte surligné n’est pas converti)

Utiliser du texte brut

Pour rectifier les problèmes rencontrés dans Bludit, il faut effacer le code comprenant les styles, revenir en mode d’édition visuelle et coller dans le champ de saisie le texte converti préalablement au format Texte.

➜ Pour éviter ces manipulations, les développeurs saississent directement leurs articles en texte brut, directement dans leur éditeur de code favori.

Modifier la couleur de survol des titres

Si la couleur de survol à utiliser n’est pas déjà identifiée dans une charte graphique, vous devez la déterminer en fonction de la symbolique du thème traité. Vous devez surtout veiller à ce que cette couleur autorise la lecture des textes sur fond sombre ou sur fond clair.

Choisir une couleur de valeur moyenne

Le moyen le plus simple pour sélectionner une couleur de valeur moyenne est d’utiliser le site hsluv.org. En effet, le sélecteur de couleur s’ouvre par défaut sur un rouge avec une luminosité de 50%. Il suffit donc de déplacer le petit cercle blanc situé sur le côté droit du trapèze des couleurs pour modifier la teinte et la saturation de la couleur recherchée.

D’autres priorités que l’optimisation du contraste de luminosité peuvent vous amener à choisir des couleurs plus claires ou plus foncées. Veillez toutefois à ce que le ratio de contraste sur le blanc ou le noir soit au moins supérieur à 3 (norme d’accessibilité AA-Large).

Modifier le fichier CSS du thème

➜ Pour appliquer cette couleur aux liens du site il est nécessaire de modifier le fichier main.css (la principale feuille de style du thème) qui se trouve dans dossier-du-site/bl-themes/massively/assets/css.

Modifiez le fichier “main.css” avec un éditeur de code (Bracket), après l’avoir téléchargé sur votre poste de travail. Après modification il sera nécessaire de remplacer le fichier “main.css” situé sur le serveur. Vous utiliserez pour cela un client FTP (Filezilla).

Recharger les CSS de la page active

Pour que votre modification s’affiche sur la page de votre site il sera sans doute nécessaire de recharger les feuilles de style de la page active, dans votre navigateur. L’extension de Chrome “Web developer” permet cette manipulation.

Cette opération est à renouveller, dans un premier temps, chaque fois que vous allez sur une nouvelle page. Pensez-y car sinon vous douterez d’avoir effectué correctement les changements indiqués ! On peut aussi vérifier que nos modifications sont opérantes en changeant provisoirement de navigateur.

Veiller aux intitulés de pages statiques

Utiliser des titres courts

Le paramétrage d’une page en page statique sort la page en question du flux des pages dynamiques. Cette page n’est plus considérée par le CMS comme faisant partie du blog. Bludit utilise le titre des pages statiques pour l’insérer dans le menu principal (afin que l’utilisateur accède à cette page).

Si vous utiliser un titre long, l’onglet du menu affichera le titre en entier et cela posera vite un problème d’ergonomie si vous avez plusieurs pages statiques. Bludit, et le thème massively montrent ici leurs limites. À moins de trouver une astuce pour modifier les intitulés des onglets, il vaut mieux donner à ses pages statiques des titres courts 😉

Notez qu’il est possible de réécrire les URL d’une page dans les options de la page. Cela ne modifie pas pour autant le nom des pages du menu.

Modifier l’intitulé “Page d’accueil”

Comme nous l’avons mentionné plus haut, l’impossibilité de changer l’intitulé de la page des articles en utilisant le tableau de bord de Bludit peut être perçu comme un défaut du thème… ou du CMS.

➜ Cette modification est cependant possible en modifiant le fichier de traduction du CMS. Ce fichier est nommé fr_FR.json et il est placé dans dossier-du-site/langages. Vous pouvez le modifier en utilisant Brakets.

Personnaliser le thème Massively (niveau avancé)

La feuille de style de Massively, non minifiée, fait 4653 lignes ! Il y a dans cette feuille de style des instructions nombreuses pour styliser toutes sortes de contenus.

Consulter les pages de démonstration

➜ La première chose à faire pour se rendre compte de ce qu’il est possible de faire est de consulter la page intitulée Elements reference sur la démo du thème Massively proposée par HTML5-up.

J’en propose une adaptation provisoire en français réalisée rapidement dans Bludit, sur mon compte de démo Alwaysdata.

Vous allez découvrir que Massively permet l’usage d’une grille adaptative, qu’il propose une classe pour améliorer le comportement des images sur petits écrans, qu’il met à notre disposition des boutons de toutes sortes, qu’il autorise l’usage des icônes de FontAwesome, … et plein d’autres choses !

Images en grille avec gouttières et habillage avec marges confortables

Examiner le code source des pages de démo

La prise en main d’un thème passe inévitablement par l’examen du code source des pages de démonstration. Il s’agit de repérer quelles sont les classes utilisées et à quelles balises elles ont été attribuées.

L’application des classes ne peut se faire, avec Bludit, qu’en modifiant le code source dans la fenêtre d’édition du code HTML.

Pour y voir plus clair et profiter de la colorisation du code dans Brakets, je vous propose de copier le code source de ma page de démonstration et de le coller dans une nouvelle page créée avec Brackets.

Code source de ma page de démonstration

Vous pouvez aussi demander à votre navigateur d’afficher le code source de la page…

Résoudre le problème d’affichage “responsive” des images

Massively dispose de 2 classes qui, utilisées simultanément, permettent l’affichage correcte des images sur tous les écrans. Il s’agit des classes « image » et « fit ».

Pour qu’une image devienne “responsive”, il est donc nécessaire de lui attribuer, directement dans le code source (via l’éditeur de page de Bludit) les classes « image » et « fit ».

Le code à insérer dans chaque balise <img>, entre “img” et “src”, est le suivant : class="image fit"

Changer l’ordre des onglets du menu

Le titre des pages statiques est automatiquement utilisé en tant qu’intitulé d’onglet dans le menu du site. L’ordre des pages peut être modifié en attribuant une position à chacune d’entre elles. Pour cela, il suffit de paramétrer le champ “Position” dans les options de la page (onglet “avancé”).

Modifier les icônes des réseaux sociaux dans le menu du site

Pour modifier les icônes de lien vers les réseaux sociaux, il est nécessaire de se rendre dans les réglages généraux du site. Personnalisez les adresses des différents réseaux proposés. L’icône du réseau disposant d’une adresse valide s’affichera automatiquement.

Il manque la plateforme Pinterest dans la liste des réseaux proposé par Bludit et Massively.

Transformer des liens en boutons

Comme cela est suggéré sur la capture d’écran ci-dessus, l’attribution d’une classe « button » transforme un lien en bouton. En ajoutant d’autres classes il est possible de personnaliser l’apparence des boutons. Les classes disponibles pour cela sont :

  • « primary »
  • « fit »
  • « small »
  • « large »

En rajoutant les classes « icon » et « fa-icon-name » (remplacer « icon-name » par le nom de l’icone à afficher), il est possible d’intégrer une icône Font Awesome dans le bouton.

Personnaliser la page d’erreur 404

Dans Bludit, pour modifier la page d’erreur 404 (page not found), il est nécessaire de créer une nouvelle page statique puis, dans les réglages généraux, de la paramétrer pour qu’elle devienne la page d’erreur de navigation du site.

Un problème surgit cependant dans la version 3 du CMS : cette nouvelle page statique apparaît dans le menu et Bludit 3 ne permet pas de masquer une page dans le menu via le tableau de bord.

Une astuce consiste à paramétrer cette page en tant que brouillon. Pour cela il suffit de cliquer sur “PUBLICATION”, à droite du bouton “Aperçu”, en tête de la page d’édition. Le mot “BROUILLON” s’affiche alors (voir ci-dessous).

Personnaliser davantage le thème Massively (niveau expert)

Utiliser les classes incluses dans les CSS du thème pour afficher une grille

Le thème Massively prévoit l’utilisation d’une grille Flexbox basée sur 12 colonnes. Plusieurs largeurs de fenêtre de navigation (avec points de ruptures correspondants) sont envisagées :

  • xlarge (entre 1141 px et 1680 px)
  • large (entre 981 et 1140 px)
  • medium (entre 737 et 980 px)
  • small (entre 481 et 736 px)
  • xsmall (entre 321 et 480 px)
  • xxsmall (entre 0 et 320 px)

Chaque rangée apparente (row) est constituée de 12 colonnes. Les colonnes de la grille sont paramétrées pour occuper autant de colonne que nécessaire (col-1 à col-12).

Les concepteurs du thème proposent de créer des grille en paramétrant une seule rangée globale puis de créer des rangées apparentes en utilisant le code suivant : <!-- break -->.

Voici un exemple de code pour mettre en place une grille de 2 rangées apparentes de 2 et 3 colonnes. Ce dimensionnement est valable sur tous les écrans sauf sur les petits écrans où chaque colonne est paramétrée pour occuper toute la place disponible (col-12-small).

<div class="row gtr-150 gtr-uniform" style="line-height: 1.4; min-height: 100px;">
<div class="col-6 col-12-small"><img class="image fit" src="https://via.placeholder.com/300" alt="">
<p style="text-align: center;">1re rangée • 1re colonne 50% (100% sur petits écrans)</p>
</div>
<div class="col-6 col-12-small"><img class="image fit" src="https://via.placeholder.com/300" alt="">
<p style="text-align: center;">1re rangée • 2e colonne 50% (100% sur petits écrans)</p>
</div>
<!-- break -->
<div class="col-4 col-12-small"><img class="image fit" src="https://via.placeholder.com/300" alt="">
<p style="text-align: center;">2e rangée • 1re colonne 33,33% (100% sur petits écrans)</p>
</div>
<div class="col-4 col-12-small"><img class="image fit" src="https://via.placeholder.com/300" alt="">
<p style="text-align: center;">2e rangée • 2e colonne 33,33% (100% sur petits écrans)</p>
</div>
<div class="col-4 col-12-small"><img class="image fit" src="https://via.placeholder.com/300" alt="">
<p style="text-align: center;">2e rangée • 3e colonne 33,33% (100% sur petits écrans)</p>
</div>
</div>

➜ Vous pouvez visualisez cette grille à cette adresse : http://comptetestfpw.alwaysdata.net/bludit-massively/grilles-responsives#main

Les classes contenant l’expression gtr concernent le paramétrage des gouttières (gutters, en anglais). Les largeurs de gouttières disponibles s’étagent ainsi : gtr-0, gtr-25, gtr-50, gtr-150 et gtr-200.

Intégrer la feuille de style imagehover.css (niveau expert)

Pour créer des effets de transition au survol des images afin de permettre la lecture de textes sur fond coloré, il est nécessaire d’intégrer la feuille de style imagehover.css dans les css du thème.

Pour cela, il faut placer la feuille de style “imagehover.css” dans le dossier “css” de Massively (à l’intérieur du dossier “assets”). Il faut ensuite modifier le fichier “index.php” du thème pour qu’il prenne en compte la nouvelle feuille de style.

D’autres modifications sont nécessaires pour éviter l’affichage d’un bandeau gris clair sous les images animées. Il faut supprimer dans “main.css” les instructions liées aux classes “image” et “fit” demandant une marge supérieure et inférieure en grande et moyenne largeur. Il est ensuite nécessaire de modifier (toujours dans “main.css”…) le paramétrage des marges sur les paragraphes en choisissant margin: 1rem 0; plutôt que margin: 0 0 2rem 0; (ligne 270).

Catégories
FCS FCS2-cours

Oh my code !

Pour vous consolider vos acquis en matière de création de site, je vous recommande un livre de Sonia BAIBOU : Oh my code ! Je crée mon premier site Web. Certainement le meilleur ouvrage publié sur le sujet !

Je vous fais part du texte placé en 4e de couverture…


PLONGEZ DANS LE CODE MAIS SANS VOUS NOYER !

Je veux apprendre à coder, mais par où commencer ? Par ce livre qui va vous initier au développement web, au travers d’un projet de création de site Internet avec HTML, CSS et JavaScript. Textes, images, liens, design responsive, tout y est pour faire de ce projet fil rouge, éprouvé et approuvé en ateliers de coding, un véritable condensé de connaissances.

Conçu spécialement pour les débutants et les débutantes en programmation, souhaitant découvrir l’envers du décor d’une façon 100% pratique, cet ouvrage qui va droit au but vous délivrera un contenu de qualité et d’une grande pédagogie, héritée de l’expérience de formatrice de son auteur. Il s’adresse à tous les curieux du code, que ce soit pour de nouvelles perspectives professionnelles, une reconversion ou par défi personnel.


C’est clair, le ton est sympathique, l’approche est très progressive et surtout, cela rejoint parfaitement ce que nous apprenons tout au long de la formation FCS ! Les illustrations sont nombreuses et toujours pertinentes, le site proposé en fil rouge est simple et motivant.

Le livre va beaucoup plus loin que le programme de la formation FCS, mais “c’est tout l’intérêt du bazar”… Vous pourrez progresser en toute autonomie, réviser sans vous prendre la tête et retrouver toutes les manipulations essentielles permettant de publier son site chez un hébergeur.

Catégories
FCS FCS2-cours

Utiliser Filezilla

Dans ce cours, nous allons voir comment utiliser le logiciel Filezilla pour transférer le dossier d’un site simple, de notre poste de travail (en local) sur le(s) serveur(s) d’Alwaysdata.

Lors du cours précédent (Utiliser les services gratuits d’Alwaysdata), vous avez ouvert un compte gratuit chez l’hébergeur Alwaysdata. Je vous ai indiqué comment récupérer les paramètres de connexion FTP dont vous allez avoir besoin. Assurez-vous de les avoir à portée de main !

Rappel

Vous disposez maintenant de toutes les données de paramétrage pour pouvoir mettre votre site en ligne en utilisant le client FTP Filezilla.

➜ Si ce logiciel n’est pas installé sur votre poste de travail, je vous invite à l’installer dès maintenant, en veillant à installer Filezilla-client depuis l’adresse https://filezilla-project.org/download.php?type=client.

Attention, soyez très vigilants : l’adresse filezilla.org (sans le ”-project”…) est un site malveillant ! N’essayez même pas d’y aller !

Les tutos

Je ne vais pas réinventer le fil à couper le beurre, il existe de nombreux tutos en ligne pour apprendre à utiliser Filezilla. Voici ma sélection.

Les vidéos

L’installation de Filezilla

Dans la vidéo ci-dessous, l’auteur va droit au but, installe Filezilla et transfère un fichier PSD dans un dossier nommé “public_html”. Pour aller plus loin, nous sommes invités à regarder une autre vidéo… sur laquelle il envisage de nous montrer comment installer WordPress ! Ben non, cela ne nous concerne pas (… pas maintenant du moins) mais, pour tout ce qui nous est présenté, du début jusqu’au transfert du fichier PSD, je valide !

L’utilisation de Filezilla

Dans la vidéo suivante, tout commence bien puis l’auteur s’emmêle un peu les pinceaux avec les ports 21 et 22 et les protocoles ftp et sftp… mais pour la suite c’est impeccable. Le dossier public côté serveur est un dossier “www” (comme chez Alwaysdata)… cela nous va donc parfaitement. Validé !

L’auteur de la vidéo ci dessus (Fabien Numelion) propose sur sa chaîne YouTube d’autres vidéos susceptibles de vous intéresser…

Les tutos écrits (et illustrés)

J’ai repéré il y a déjà longtemps un article qui expose les choses de manière détaillée. Filezilla a relooké légèrement son interface depuis le moment où cet article a été rédigé mais les boutons et les fenêtres n’ont pas changé de place…

Vous pouvez donc lire Comment ça marche Filezilla ?. Pour les curieux ou ceux qui souhaitent se rafraîchir la mémoire sur un point ou deux, il y a des liens vers d’autres articles comme C’est quoi un serveur FTP ?. On est en plein dans le sujet !

La pratique

Concrètement, il va falloir transférer dans le dossier “www” situé sur le serveur d’alwaysdata le dossier complet de votre site personnalisé situé en attendant sur votre poste de travail. En utilisant Filezilla comme cela vous a été montré et expliqué plus haut, tout devrait marcher comme sur des roulettes !

Précautions à prendre

Avant de vous lancer, vous allez faire attention à quelques petites choses…

Le fichier index.html

Il est impératif, pour que votre site s’affiche dans la fenêtre du navigateur de vos futurs lecteurs en saisissant une simple URL, que le dossier de votre site contienne un fichier nommé “index.html”. C’est la page d’accueil… même si elle est la seule page du site. Si le fichier html que vous voulez montrer au reste du monde porte un autre nom, renommez-le “index.html” !

Si vous le nommez autrement, il sera nécessaire de saisir le nom du fichier à la fin de l’url d’accès au dossier du site.

Les images dans le dossier img

Inutile de transférer sur le serveur d’Alwaysdata des images de maquette qui n’ont pas été utilisé dans la page HTML. Veillez à ce que vos images soient correctement compressées. Vos images doivent être à la dimension maximale de leur utilisation dans le site (affiché sur grand écran)… pas plus ! Compressées au format jpeg (qualité élevée ou 60%), vos photos ne surchargeront pas votre espace d’hébergement.

Si vous chargez excessivement l’espace mis gratuitement à votre disposition (100 Mo maximum), vous ne pourrez pas héberger votre portfolio et le CMS avec lequel nous travaillerons au niveau 3 de la formation !

Le nom du dossier

L’url permettant d’accéder à votre compte est de la forme nomducompte.alwaysdata.net. Quand vous aurez transféré votre dossier de site, pour accéder au fichier “index.html” il faudra saisir une adresse sous la forme nomducompte.alwaysdata.net/nom-du-dossier.

L’adresse de votre site se termine par le nom que vous allez donner au dossier qui contient le fichier “index.html” et les dossiers dépendants (le dossier “css”, le dossier “img”, etc.).

Nommez votre dossier de site sans mettre de majuscule ou de chiffre au début du nom, sans lettres accentuées ni espaces. Utilisez de préférence les tirets hauts (tirets du 6) pour séparer les mots. Soyez concis et explicites !

➜ Une fois ces précautions prises, vous pouvez transférer le dossier correctement nommé de votre poste de travail vers le dossier “www” (dans le dossier… pas à côté du dossier “www”).

Test de bon fonctionnement

Si tout s’est bien passé, vous devriez accéder à votre site en saisissant dans votre navigateur l’adresse nomducompte.alwaysdata.net/nom-du-dossier.

En transmettez-moi cette adresse, je pourrai voir votre site, comme tous ceux à qui vous communiquerez la même adresse !

➜ Transférez un autre dossier de page Web, nommé convenablement (avec son fichier “index.html” à l’intérieur)… Modifiez ensuite le nom du dossier à la fin de l’url précédente : vous devriez accéder à votre deuxième site Web !

Voilà qui vous ouvre de nouvelles perspectives pour l’avenir 😉

Catégories
FCS FCS1-cours

Personnaliser un gabarit de site HTML-CSS

Dans ce cours, nous allons voir comment donner une forme attrayante au travail de rédaction pour le Web (assisté ou non par IA) réalisé en amont. Nous allons intégrer le texte structuré dans un gabarit de site responsive.

Les gabarits responsives

Vous trouverez sans aucun doute des centaines de gabarits responsives sur Internet. Il est très probable qu’ils soient stylisés en faisant appel au framework Bootstrap. Or, à ce stade de votre formation, vous ne maîtrisez pas encore cette boîte à outil !

Il existe pourtant quelques gabarits HTML5-CSS3 utilisables par des débutants. Je me suis inspiré de quelques uns d’entre eux pour bâtir plusieurs gabarits de site one page. Je vous propose de les télécharger et de les examiner d’un peu plus près.

Vous constaterez qu’ils n’utilisent pas de code JavaScript. Ils ont tous été optimisés pour l’affichage sur mobiles. Certains gabarits s’adaptent mieux que d’autres aux petits écrans. Les versions “bis” sont un peu plus complexes que les version sur lesquelles elles se basent.

Utiliser les fonctions d’affichage “responsive” de votre navigateur pour tester le rendu de chaque gabarit pour différentes largeurs de fenêtre du navigateur.

Affichez le code source, examinez-le avec attention. Dans la fenêtre affichant le code source, cliquez sur le lien menant à la feuille de style. Parcourez-la pour repérer l’articulation entre la feuille de style CSS et le fichier HTML. Notez que les feuilles de style sont partiellement commentées.

Les feuilles de syles CSS listent des instructions qui s’appliquent aux éléments HTML. Pour mieux comprendre les procédés utilisés dans les feuilles de style des gabarits, je vous invite à visionner cette vidéo qui explique comment fonctionnent les feuilles de style externes.

Préparer le travail de personnalisation

Collecter ou créer des images

Choisissez le gabarit qui vous semble le mieux convenir à votre texte et à votre propos. Vous allez avoir besoin d’images pour remplacer celles que j’ai utilisées. N’hésitez pas à explorer les possibilités offertes par le site pexels.com pour trouver des images libres de droit.

Vous pouvez créer des illustrations thématiques adaptées à votre sujet en utilisant les services de Vector Creator. Vous pouvez aussi composer vos propres “photos” en faisant des montages grâce à Photo Creator.

Choisissez vos photos avec soin. Je vous recommande de veiller à l’unité des couleurs et du style sur l’ensemble de la page Web. Ne vous contentez pas de regrouper des photos sur le seul critère de leur rapport avec le sujet traité.

➜ Si vous ne trouvez pas assez de photos dans les mêmes teintes colorées, retouchez-les en utilisant Photoshop ou une application en ligne comme Pixlr-x.

Les IA génératives permettent de créer des images illustratives de tous styles (photos, dessins, peintures, etc.). Vous trouverez des IA génératives dédiées à tel ou tel style sur poe.com. Sur cette plateforme vous disposez de 3000 points par jour. les IA référencées annoncent chacune le nombre de points consommés à chaque production d’image.

Compresser les images

Rassemblez les images collectées dans un dossier de collecte que vous nommerez explicitement. Les images collectées dans les banques d’images sont généralement de grandes dimensions (plus de 5000 pixels de large) et peuvent peser plusieurs Mo.

L’image de bandeau dont vous avez besoin na pas besoin de dépasser 2000 pixels de large. Il est donc nécessaire que vous réduisiez la taille de vos images et par conséquent leur poids. Compressez vos images en jpg à 70% (7 sur une échelle de 1 à 10), elle ne pèseront plus que quelques centaines de Ko…

Placez dans le dossier “img” les seules images que vous envisagez de publier. Si vous placez davantage d’images dans ce dossier, le temps de faire votre choix, retirez ensuite celles que vous n’avez pas utilisées.

Sur le Web, on voyage léger !

Préparer un nuancier étagé

Vous allez modifier les couleurs utilisées dans les gabarits fournis. Vous allez donc devoir utiliser des couleurs dont le degré de luminosité autorise la superposition d’une couleur sur l’autre. Pensez au confort oculaire de vos futurs lecteur !

L’application en ligne gradients.app propose des combinaisons toutes prêtes de couleurs pour l’arrière-plan et le texte.

Vous pouvez aussi utiliser une couleur de luminosité moyenne, associée au noir et au blanc (ou à une couleur très foncée et une couleur très claire). Une liste de couleurs moyennes vous est proposée en ligne.

Choisir des polices de caractères

Le moment venu, vous aurez sans doute besoin de changer la police de caractères utilisée pour le titrage dans les gabarits. Les polices de Google Fonts sont une aubaine pour les créateurs débutants !

Pour vous aider dans votre choix, je vous invite à vous rendre sur fontpair.co. Si vous ne trouvez pas votre bonheur sur Fontpair, explorez le site Typewolf

Pour l’intégration de polices différentes dans le site personnalisé, voir un peu plus bas comment intégrer des polices Google.

Intégrer le texte rédigé dans le gabarit

La personnalisation d’un gabarit nécessite souvent une intégration du texte titre par titre et paragraphe par paragraphe. Faute de quoi certaines parties du code implémentées dans le gabarit risquent de disparaître.

La démarche n’est pas la même que celle qui consiste à construire un site à partir de zéro (from scratch). Elle est aussi très différente de la méthode qui consiste à changer de feuille de style externe pour modifier l’apparence d’une page HTML.

L’avantage d’utiliser un éditeur markdown lors de la rédaction des textes est de bénéficier à l’export en HTML d’un contenu proprement balisé (surtout avec StackEdit). Cela facilite l’intégration des différentes parties du texte dans la structure du gabarit.

Remarques sur les balises <br>

Soyez vigilants sur la structuration du texte. Il se peut que le texte exporté depuis StackEdit comporte de nombreuses balises <br>. C’est souvent le résultat d’une erreur de saisie lors de la rédaction dans l’éditeur Markdown. Corrigez ce défaut lors de l’intégration et constituez des paragraphes courts, de taille homogène.

➜ Dans StackEdit, en Markdown, il faut sauter 2 lignes pour faire un saut de paragraphe. Un simple saut de ligne génère un saut de ligne dans le paragraphe (un <br>).

Conseils pratiques

Travaillez sur le bureau

Dans le cadre des salles du GRETA, sur le Pôle Plurimédia du lycée La Fayette, vous pouvez être tentés de modifier directement des fichiers placés sur votre session individuelle.

➜ Je vous recommande plutôt de copier le dossier du gabarit que vous avez l’intention de modifier sur le bureau de votre poste de travail.

Quand vous aurez terminé, vous sauvegarderez alors votre travail sur votre session (… et sur votre clé USB ou votre disque dur personnel).

Personnaliser le gabarit

Vous pouvez modifier la feuille de style CSS pour personnaliser le gabarit utilisé. Il est ainsi possible de modifier les couleurs, la police de titrage et bien d’autres choses.

Soyez très prudents concernant des modifications touchant à la disposition des éléments dans la page (menu, têtière, contenu principal, etc.). Gardez à l’esprit que toute modification envisagée sur grand écran doit être répercutée sur petits écrans.

Des “media queries” se trouvent en fin de feuille de style. Elles permettent de spécifier précisément, à l’aide de nouvelles instructions CSS, comment doivent s’afficher les éléments HTML quand la fenêtre de navigation fait telle ou telle largeur. Toute la “responsivité” (capacité d’adaptation) du gabarit repose sur ces requêtes médias.

Recommandations

Ne vous lancez pas dans de grandes modifications du modèle choisi. Soignez plutôt vos images, vos couleurs et vos typos… et la qualité de votre texte.

Pour neutraliser une instruction CSS utilisez la mise en commentaires plutôt que l’effacement de l’instruction. Cela facilitera le retour à la version originale. Les balises de mise en commentaire CSS sont /* et */.

➜ Si une tentative de modification de la feuille de style échoue, revenez à la version originale. Ne laissez pas des instructions inopérantes dans le code.

Modifications premières

Voici une série de modification faciles à mettre en œuvre. Une fois que vous les aurez faites, votre site devrait déjà avoir un look satisfaisant.

Nous verrons plus tard, en utilisant notamment la feuille de style w3.css, comment optimiser la présentation d’une page en insérant des diaporamas, des grilles de photos, des colonnes suplémentaires, etc.

Pour le moment, vous pouvez mettre en œuvre les modifications indiquées ci-dessous.

Choisir des mots “strong” (importants)

Cette modification concerne la structuration et la stylisation du texte en même temps. En effet, les lecteurs devraient pouvoir parcourir votre texte en lisant les seuls titres et les seuls mots en gras.

Les moteurs de recherche lisent votre texte de cette façon. Ils en déduisent la cohérence de votre propos en analysant le champ sémantique des mots importants et des titres.

C’est à vous d’indiquer aux moteurs de recherche et à vos lecteurs quels sont les mots importants. Pour cela, utilisez les balises <strong> et </strong> pour baliser chaque mot ou expression importante.

Quand on veut afficher en gras des mots qui ne sont pas importants , on utilise les balises <b> et </b>.

Changer l’image de fond du header

Sur les gabarits que je vous propose, l’image de la têtière est insérée dans le header via la feuille de style. Repérez dans la feuille de style les instructions de ce type, rattachées au header :

background-image: url(../css/img/nom-image-2000x500.jpg);
background-size: cover;

Pour que certains gabarits fonctionnent en ligne, l’appel de l’image a été modifié comme suit :

background-image: url(img/nom-image-2000x500.jpg);

Changez le nom de l’image utilisée par celui de l’image de votre choix. Utilisez une image de 2000 pixels de large et de la hauteur de votre choix.

➜ Pour optimiser le positionnement de l’image dans l’espace disponible, rajouter l’instruction CSS suivante :

background-position: center;

Suivant l’image que vous avez utilisée et son contexte d’affichage, vous pouvez donner à background-position les valeurs top, bottom, left ou right. Vous modifierez ainsi la manière dont l’image se positionne dans le cadre disponible.

Changer les couleurs utilisées

Pour changer les couleurs du gabarit, il faut repérer dans la feuille de style tous les endroits où un nom de couleur a été utilisé. Les formes de codage de la couleur utilisées dans les gabarits proposés sont la forme hexadécimale (#FFF, #FF00DD, #80F80F, etc.) et les formes rgb ou rgba (rgb(255, 255,255), rgba(255, 255, 0, 0.5), etc.).

➜ Vous trouverez rapidement les codes de couleurs insérés dans la feuille de style en utilisant la fonction “Rechercher” (cmd-F sur MacOs). Recherchez “#” ou ”rgb”, vous trouverez immédiatement les couleurs codées avec ces intitulés.

On peut aussi rechercher l’occurence “color” (… toujours en utilisant la fonction “Rechercher” dans Brackets). Le nom de la couleur choisie n’est pas très loin des expression comprenant cette occurence !

➜ Pensez à utiliser des couleurs aux valeurs étagées et ne multipliez pas le nombre des couleurs utilisées. Veillez au contraste entre le texte et le fond pour garantir à vos lecteurs une lisibilité optimale.

Accordez vos couleurs avec l’image de têtière utilisée. Votre site gagnera en unité et en harmonie.

Modifier la variable d’une couleur moyenne

Les feuilles de style CSS des gabarits dont le numéro de version se termine par la lettre c sont paramétrées de telle sorte que les couleurs puissent être modifiées en une seule fois.

Pour cela, des variables de couleur sont définies en tête de feuille de style (exemple ci-dessous).

/* Déclaration des variables des couleurs appliquées sur la page */
:root {
--dark-color: #000;
--dark-grey: #333;
--medium-color: #307d9a;
--light-color: #fff;
--light-grey: #ddd;
}

Il s’agit de gris (clair et foncé), du noir, du blanc et d’une couleur moyenne choisie pour répondre à la norme d’accessibilité AA sur le noir et sur le blanc.

➜ Pour modifier la couleur moyenne dans tout le gabarit, il suffit de changer la valeur de --medium-color.

Changer la police de titrage

Les polices de titrages sont appelées depuis les serveurs de Google Fonts par la méthode @import, au tout début de la feuille de style.

Si vous n’avez jamais utilisé Google Fonts, je vous invite à regarder cette vidéo pour en apprendre davantage (durée : 16 min).

Ajouter des onglets au menu

En fonction de la structuration du contenu rédactionnel, vous pouvez être amenés à ajouter des onglets au menu du gabarit. Choisissez des intitulés courts en reprenant un terme du titre de la partie vers laquelle renvoie l’onglet.

Modifications non recommandées

Modifier l’alignement du texte

Le Web, avec la diversité des écrans de consultation des sites, supporte mal la justification des textes. Privilégiez l’alignement du texte à gauche et quand cela se justifie, utilisez l’alignement centré.

Habiller les photos avec le texte

Pour la même raison que celle évoquée plus haut, évitez d’habiller vos images avec du texte. Pour vous convaincre, examinez la manière dont votre texte se positionne à proximité de l’image sur les largeurs de fenêtre légèrement plus grandes que la largeur de l’image.

Un gabarit de site multipage

La personnalisation d’un gabarit de site multipage concerne en priorité les apprenants de la formation CDUI.

J’ai combiné plusieurs feuilles de style trouvées sur le Web pour composer un gabarit de site multipage. Les explications concernant sa mise en œuvre sont affichées dans le gabarit !

Concernant la mise en œuvre de Luxbar (la feuille de style utilisée dans ce gabarit pour l’insertion du menu…), vous trouverez des précisions sur la page intitulée Insertion d’un menu avec Luxbar.

Catégories
FCS FCS1-exos

Structuration et stylisation en 4 étapes

Cette série d’activités vous permet d’élaborer un site one page simple. Vous n’aurez pas à vous soucier de toutes les contraintes de la rédaction pour le Web. Il ne sera pas question de choix et de positionnement de mots clés. Il ne sera pas question d’optimisation des titres, de longueur des phrases, etc.

➜ Dans un premier temps il s’agit de produire ou collecter un texte en suivant une structure rédactionnelle simple.

➜ Dans un second temps, le texte produit est structuré en langage HTML. Il devient une page Web élémentaire, consultable à l’aide d’un navigateur.

La page HTML est ensuite stylisée en faisant appel à des instructions CSS simples. La page prend ainsi des couleurs, la typographie est plus originale et le futur site commence à se montrer sous un jour satisfaisant.

➜ Enfin, à la dernière étape, un menu est intégré en tête de la page Web stylisée, pour faciliter la navigation dans le texte (… et donc dans le site). Une feuille de style particulière est utilisée pour cela.

Liste des activités

Voici les activités correspondantes à ces 4 étapes.

Réaliser l’ensemble des activités proposées ici nécessite plusieurs journées de travail persévérant. Le résultat de vos efforts vous permettra d’envisager la mise en ligne une page Web du type de celle présentée ci-dessous.

Bon courage à tous 😉

Catégories
FCS1-exos

Activités sur la structure HTML d’une page Web

Vous trouverez ci-dessous plusieurs activités vous permettant de consolider vos connaissances sur la structure élémentaire d’une page Web.

1 – Collecter des images sur la structure HTML élémentaire

Avant de lancer un éditeur de code et de modifier le code source d’une page HTML, je vous propose d’aller faire un tour sur le Web et de collecter des images qui mettent en évidence la structure élémentaire dont il a été question jusqu’ici.

Allez dans Google Images et saisissez “html structure” ou “structure html” (non, vous n’obtiendrez pas les mêmes résultats…). Vous allez très vite constater que les structures présentées sont loin d’être élémentaires et qu’elles concernent souvent la structure des contenus placés dans le corps de la page (et non la structure élémentaire proprement dite).

Collectez seulement les images qui se rapportent à la structure élémentaire. Laissez les autres images de côté pour le moment (celles montrant des structures avec « header », « main », « section », « aside », et d’autres encore…).

Voici une des images que vous pouvez collecter :

Placez les images collectées dans un dossier nommé « images » ou « img », en ayant soin de renommer correctement chaque image (sans majuscule ni lettres accentuées ni espace). Les 3 formats d’images acceptés sont .jpg (ou .jpeg), .png et .gif.

Ce dossier pourra vous servir ultérieurement si vous envisagez d’intégrer les images collectées dans une page Web réalisée par vos soins (activité facultative).

Vous placerez alors, dans un dossier nommé “structure-html”, le dossier “images” ou “img” contenant les images collectées. Ensuite, au même niveau que le dossier contenant les images, vous placerez le fichier “index.html” dans lequel seront intégrées les images et les textes d’accompagnement.

2 – Recherche de vidéos sur la structureHTML élémentaire

Rien de tel que de savoir se documenter soi-même en sélectionnant de bon documents. Je vous invite à faire une recherche sur les vidéos traitant de la structure élémentaire d’une page HTML. Je vous mets sur la piste, un peu plus haut dans ce cours. 😉 Vous réviserez les bases de la structuration d’une page Web pendant que vous tenterez d’évaluer la pertinence et le niveau de difficulté du contenu de la vidéo. Priorité aux approches simples, claires, et non soporifiques !

Proposition : construisez une page Web simple pour lister vos liens vers les vidéos sélectionnées. Utilisez par exemple StackEdit pour structurer en Markdown le contenu de la page. Exportez ensuite votre contenu, stylisé, avec ou sans TOC.

3 – Compléter les dialogues d’un diaporama pédagogique

Si vous avez déjà eu l’occasion d’utiliser un éditeur de code comme Brackets/Phoenix, pour remplacer des textes aux endroits indiqués, vous êtes capables de réaliser cet exercice.

Pour remplacer ou compléter des textes (affichés en noir dans Brackets/Phoenix), il faut d’abord les repérer. Ils sont placés dans le <body> entre les balises <p> et </p> (balises de paragraphe). La balise <br> (autofermante), souvent utilisée, force le retour à la ligne (br = abréviation de « break »).

Il s’agit de finaliser le dialogue imaginaire entre le code source d’une page HTML, d’une part, et un navigateur (auquel le code source s’adresse), d’autre part.

Tout est prêt côté codage… vous pouvez télécharger le dossier du diaporama à cette adresse : http://graphizm.fr/fcil/dixit-code.zip/.

Pensez bien à décompresser le fichier .zip avant d’ouvrir le dossier « dixit-code » avec Brackets.

Je vous montre ci-dessous le diaporama intégrant quelques diapos complètes et les diapositives à compléter par vos soins. La modification des dialogues déjà en place est facultative.

Je vous donne le ton du dialogue et des expressions utilisables pour effectuer votre travail. Si ce ton ne vous convient pas vous pouvez modifier les textes que j’ai saisi à titre de démonstration dans les premières diapositives.

 Attention : veillez à faire en sorte que ce soit bien le code source qui s’adresse au navigateur. Il s’agit de se mettre « dans la peau » du code source ! Quand le navigateur prend connaissance des instructions que lui transmet le code source, les instructions sont déjà rédigées (codées). En vérité, le navigateur n’a pas d’autre choix que de prendre en compte les instructions que le code lui transmet !